La fièvre des encans : nouvelle génération est de retour avec de nouvelles aventures à travers les plus beaux encans du Québec.  Le centre du Québec, l’Estrie, la Montérégie, la Beauce et la Mauricie seront nos terrains de chasse de prédilection pour mettre la main sur des trésors bien de chez nous ! Des joutes enflammées, des aubaines inespérées, des connaissances précieuses à partager, un bonbon télévisuel à ne pas manquer !

Les encans sont des cavernes d’Ali Baba où l’on trouve de tout : antiquités de valeur, pièces de collection et objets vintage qui suscite la nostalgie. Et cette nouvelle génération est très nostalgique ! Les objets centenaires continuent de susciter la convoitise et les années 60 à 90 trouveront une place de choix dans cette édition renouvelée de La fièvre des encans.

Pour plonger dans l’atmosphère fébrile qui règne lors des ventes à la criée, nous y suivons  des  miseurs qui  s’y  connaissent  :  Dominic Baril, Karine Belzile et Bob le roi du Kitsch.  Accompagnés de complices collectionneurs qui s’ajoutent à la distribution selon les encans visités, Mario Vachon et Alain Lemaire, on retrouve La fièvre des encans avec de nouveaux yeux pour nous guider dans ce chaos sympathique !

Tous dotés d’un oeil de lynx, ils nous permettent de mieux connaître et de mieux comprendre la valeur monétaire, historique et culturelle des objets qu’ils convoitent.  Via leur fièvre des encans, nos « chasseurs de patrimoine » nous entrainent dans le monde excentrique et toujours aussi fascinant des encans.

Qui se cache derrière le p’tit gars de Baie-Comeau élu à la tête du pays en 1984 avec la plus forte majorité de l’histoire canadienne. Ce jeune anglophone au sang irlandais incarnera dès son enfance sur la Côte-Nord, les visages du Canada. Étudiant dans les Maritimes et à Québec, il découvre les deux solitudes de son pays. Il en fera sa force politique au sein du Parti Conservateur.

En 1984, Brian Mulroney arrive à Ottawa armé de son style présidentiel. Avec à ses côtés sa « première dame » Mila. Il redonne un souffle nouveau aux relations canado-américaines et réforme l’économie. Père du libre-échange et grand défenseur des Québécois, sa lune de miel est vite interrompue par ses décisions impopulaires. Son image malmenée au Canada-anglais, son désir de ramener le Québec dans la constitution et quelques scandales bouleversent le pays en entier. De 1984 à 1993, il passera de la plus grande gloire à la pire déchéance. Voici un premier ministre aussi paradoxal qu’atypique.

Jacques Parizeau est tout sauf l’homme d’une seule déclaration. Issu d’une famille aussi aisée que cultivée, promu à un brillant avenir, Jacques Parizeau fréquente les écoles réputées. Il devient vite un influent conseiller économique du gouvernement québécois. Grand artisan du Québec moderne, il est intimement lié aux acquis de la Révolution tranquille comme haut commis de l’État. Converti ardemment à la souveraineté du Québec, il en fera sa priorité unique, au point de démissionner de son poste de ministre des Finances du cabinet Lévesque en 1984.

De retour comme chef du Parti Québécois en 1988, Jacques Parizeau fait de la souveraineté du Québec son cheval de bataille. Dès qu’il devient premier ministre du Québec en 1994, il veut offrir le plus tôt possible un pays aux Québécois. Le moment capital de sa vie politique se jouera le 30 octobre 1995. Assombri par la défaite, il y va d’une déclaration controversée qui aura des retentissements des années plus tard avec la création des Commissions Gomery et Bouchard-Taylor. Son court règne comme premier ministre n’empêchera pas Jacques Parizeau de bouleverser les Québécois et Canadiens comme jamais. Histoire d’un bourgeois fédéraliste devenu souverainiste, d’un Canadien devenu Québécois.

Élu quatre fois premier ministre du Québec, connaît-on vraiment Robert Bourassa ? Est-il si mou et ambivalent qu’il le laissait paraître durant ses 15 ans au pouvoir ? Devenu pour la première fois premier ministre à seulement 36 ans, il aura à gérer les plus grandes crises du Québec, dont la crise d’octobre 1970 et sera derrière de grandes réalisations comme la Baie-James.

Malgré sa défaite en 1976, sept ans plus tard, il prend sa revanche en redevenant chef de son parti, le parti Libéral. Un exploit canadien. En appliquant le fait français au Québec, il soulève la colère du Canada-anglais. S’ensuit l’échec de Meech. Dès le lendemain, les Québécois sont en droit de se demander : Bourassa est-il souverainiste ou fédéraliste ? En affrontant une énième crise, celle d’Oka, Bourassa affronte aussi l’épreuve de sa vie, la maladie. Enquête sur un premier ministre qui sera au pouvoir dans des circonstances jamais ordinaires.

Le nom Pierre Elliott Trudeau a toujours suscité des réactions épidermiques. L’ancien premier ministre canadien soulève encore les passions d’un océan à l’autre : on l’admire au Canada-anglais et on le déteste au Québec. Pourquoi ? Après avoir milité pour le nationalisme et flirté avec l’antisémitisme, cet homme à la personnalité ambiguë et flamboyante changera radicalement le visage du Canada. Il incarne par ses origines anglophones et francophones le nouveau Canada qu’il bâtira.

Dès son élection en 1968, il soulève la controverse et affiche son arrogance légendaire. Une crise majeure l’attend au Québec en 1970. Lors du premier référendum québécois en 1980, il est prêt à tout. Il rapatrie de Londres la constitution canadienne en prenant soin d’y inclure une Charte des droits et libertés de la personne. Le Québec est la seule des 10 provinces qui n’y a jamais adhéré. Tel un messie, il a fait du multiculturalisme son phare.

Lucien Bouchard est l’un des politiciens les plus aimé et les plus détesté de notre histoire moderne. Serait-ce ses allers-retours entre le fédéralisme et le souverainisme qui dérangent ? D’abord Trudeauiste, il devient souverainiste au lendemain de la crise d’octobre en 1970. Déçu de l’échec référendaire de 1980, il aide son grand ami d’université Brian Mulroney à devenir chef du parti progressiste conservateur à Ottawa puis premier ministre du Canada en 1984. Sa profession de foi fédéraliste se concrétise en acceptant un poste d’ambassadeur du Canada à Paris. Elle se confirme quatre ans plus tard, lorsqu’il devient ministre conservateur au fédéral. Lorsqu’il voit son rêve de réconcilier le Québec et le Canada s’effondrer, il claque la porte et redevient souverainiste.

Amèrement déçu de l’échec de Meech, Lucien Bouchard fonde le Bloc Québécois. On admire son courage mais plus encore lorsqu’il survit à une terrible maladie qui a failli l’emporter. L’homme qui revient aux affaires est un véritable miraculé et devient un acteur clé lors du second référendum sur la souveraineté du Québec en octobre 1995. Mais quel sera son véritable rôle dans ce référendum ? Puis, lorsqu’il deviendra premier ministre, ses politiques serviront-elles de levier ou d’éteignoir à la souveraineté ? Lucien Bouchard ne fait pas l’unanimité.

Jean Chrétien s’est toujours décrit comme le p’ti-gars de Shawinigan. Voilà bien le paradoxe. L’homme populaire et « anti-establishment » de la politique incarne le mérite des humbles qui doivent tout à leur talent et leurs efforts. Mais cet homme du peuple a lui-même joué un rôle central dans les décisions autoritaires de l’élite libérale contre sa province d’origine. Il était ministre de la Justice au moment du rapatriement de la constitution canadienne.

Quarante ans de vie politique plus tard, il compte à son actif 12 victoires électorales, 12 ministères, 10 années rocambolesques à la tête du « plus meilleur pays du monde ». En quittant le pouvoir en 2003, il est loin de se douter que son héritage politique plongera ses successeurs dans les années les plus difficiles de l’histoire de son parti.

Ce héros de la révolution tranquille n’a pas fini de nous étonner. Surtout lorsqu’on regarde le politicien grandeur nature et non le mythe qu’en ont fait les Québécois. Premier constat : cet homme est bien plus attaché à son passé qu’on ne le croit. C’est en s’inspirant de ses prédécesseurs qu’il a l’idée de la nationalisation de l’hydroélectricité. Lorsqu’il fonde le parti québécois en 1968, il doit rallier des plus radicaux de l’indépendance que lui. Il subira même une tentative de putsch peu avant les élections qui le mèneront au pouvoir, le 15 novembre 1976. Ce soir-là, ses proches l’ont vu se transformer sous leurs yeux.

La promesse qu’il a faite aux Québécois de tenir un référendum dès son premier mandat est probablement la plus éprouvante de sa vie politique. Sera-t-il à la hauteur dans ce rendez-vous historique ? Au lendemain du non, aurait-il dû démissionner ? Aurait-il pu éviter l’imposition d’une nouvelle constitution canadienne ? Dans cette bataille des titans, force est de constater que celui qui a gagné, c’est son ennemi juré : Pierre Elliott Trudeau. Cette vérité est sans doute l’une des mieux cachées de notre histoire moderne.

Quand l’instinct du chien renforce l’intelligence humaine

Les chiens policiers sont des alliés de taille : tant en patrouille que dans l’accompagnement de victimes de drames diverses, ils permettent aux policiers de mieux faire leur travail.

Qui sont les humains et les chiens qui forment ces unités spéciales ? Des duos en symbiose où l’instinct du chien vient propulser l’intelligence humaine.

La série documentaire Unité Canine offre une immersion dans ces unités bien particulières des différents corps policiers du Québec.   Un duo de maître-chien à la fois, on découvre l’impact qu’ont ces duos de maîtres-chiens policiers à travers toutes sortes d’interventions qui ont un point en commun : aider des humains.

À écouter sur QUB Radio

Que font réellement les répartiteurs du 911 quand on est au bout du fil? En s’appuyant sur des appels réels et inédits, ce balado réunit des répartiteurs et des policiers pour mettre en lumière la complexité de ce travail colossal et méconnu.

Cette série met en lumière les grands oubliés des premiers répondants : les répartiteurs du 911. Ils sont pourtant le premier maillon de la chaîne d’intervention, qui orchestre les opérations sur le terrain. Sans jamais pouvoir se préparer à ce qu’ils entendront au bout du fil, ils deviennent les témoins auditifs des tragédies sur leur territoire. Chaque seconde compte pour ceux qui veillent à notre sécurité jour et nuit.

La créatrice de contenu Cam Grande Brune, passionnée des animaux, part à la rencontre de six chiens de soutien émotionnel. Entrez dans l’univers de Kanak, Nana, Zaïa, Kwanza, Argon et Stark, des chiens qui sauvent littéralement des vies.

Infractions c’est une incursion inédite dans le quotidien d’avocats criminalistes qui tentent de sauver leurs clients accusés, à tort ou à raison, d’infractions de tous genres. Certains seront condamnés, d’autres innocentés. Des gens vrais, des histoires fascinantes et les meilleurs avocats pour les défendre.

Ambulances animales met en lumière le travail trépidant de premiers répondants pour animaux en les suivant dans leur quotidien. Qu’ils soient ambulanciers animaliers, vétérinaires, maîtres-chiens, spécialistes de la faune ou intervenants en refuge, ils répondent aux appels d’urgence de la grande région de Montréal. Sauvetage spectaculaire, transport spécial, réanimation ou opération d’urgence, Ambulances animales est une série documentaire d’action où tous les intervenants partagent une même passion : l’amour des animaux.

Pas facile d’être mère va à la rencontre de jeunes femmes qui vivent une grande désillusion avec l‘arrivée de leur premier enfant.
Pour ces jeunes femmes, élevées dans le mythe de la superwoman,  elles ont soudainement l’impression de ne pas être à la hauteur. Elles nous racontent leur désarroi, leur culpabilité, le choc qu’elles ont vécu, mais aussi les solutions qu’elles ont trouvé pour se relever.
Loin d’être les seules dans cette situation, elles nous font prendre conscience que le modèle de la mère parfaite, invulnérable et inoxydable, n’existe pas. Que les images parfaites qui inondent les réseaux sociaux ne représentent pas la réalité quotidienne. Que la pression sociale qui veut que la maternité soit la clé du bonheur n’est pas réaliste. Et que celles qui ne correspondent pas à ces dictats sont loin d’être des mères qui échouent.
Les témoignages saisissants des comédiennes Bianca Gervais et Valérie Blais, des blogueuses et auteures Marianne Prairie, Véronique Grenier et Fanny Britt ainsi que de l’experte France Paradis aident à comprendre et surtout dédramatiser ce nouveau phénomène de société. Un documentaire inspirant signé Sophie Lambert.

Le boss des enchères, c’est Alain Brousseau, encanteur légendaire de la région de Sherbrooke.  C’est LA référence pour « vider la place » et pour « casser maison ».  Lui et son équipe, Les enchères A.B., se promènent partout au Québec pour faire encan.  D’un trop plein d’inventaire à une fermeture de commerce, en passant par une succession, un « casse-maison » jusqu’à la vente d’équipements de ferme, si Alain Brousseau se déplace pour tenir une vente aux enchères chez vous, c’est qu’il y a de bonnes affaires à faire ! Son mandat : tout vendre au plus offrant. 

Les encans sont des cavernes d’Ali Baba où l’on trouve de tout : du meuble ancien de valeur jusqu’à l’objet promotionnel qui suscite la nostalgie. Pour plonger dans l’atmosphère fébrile qui règne lors des ventes à la criée, nous y suivons des acheteurs qui s’y connaissent : le jeune brocanteur Beau Kavanagh, l’antiquaire d’expérience François Saint-Georges, ainsi que Ken Meany, un collectionneur averti qui loue ses trésors aux producteurs de films. Tous dotés d’un oeil de lynx, les trois complices usent d’astuce et de stratégie pour dénicher des perles rares et, surtout, pour les obtenir à bon prix.

Arme à quatre roues est un documentaire choc qui dénonce le seuil de tolérance du système de justice québécois envers les criminels de la route. Il critique les failles du no-fault (« sans égard à la faute »), qui est au coeur de notre régime d’assurance automobile. La principale faille de ce système : il ne fait pas la distinction entre un accident et un crime, et dédommage les coupables de délits criminels au même titre que leurs victimes, qui, elles, n’ont aucun recours légal. Lorsqu’ils tuent, blessent et se blessent eux-mêmes, il arrive même que ces criminels reçoivent plus d’indemnités que leurs victimes. Nous les mettons même à l’abri de toute poursuite civile! Le Québec est le seul endroit au monde où les criminels sont traités sur le même pied d’égalité que leurs victimes. Pas étonnant que la province ait la triste réputation d’être le paradis des chauffards !

« Maudites Hormones ! » En réalité, c’est quand on en manque que plus rien ne va. Et c’est précisément ce qui arrive lorsque survient la ménopause chez la femme et l’andropause chez l’homme ; les deux sont en carence hormonale. Plutôt que de condamner les hormones de remplacement, il est grand temps de remettre les pendules à l’heure, de reconnaître leurs bienfaits car leur rôle va beaucoup plus loin que le simple soulagement des symptômes. Ce duo documentaire montre à quel point autant les hommes que les femmes ont besoin de leurs hormones pour vieillir en santé.

Mini-série documentaire portant sur Samuel de Champlain, qui, le 3 juillet 1608, débarque à  Québec pour fonder la première colonie française en Amérique. Le ton osé et parfois décapant de cette mini-série est aussi original que percutant.

Série magazine animée par Serge Postigo (saisons 1 et 2 ) et Patrick Hivon (saisons 3 et 4) qui a pour but de rénover une pièce de votre demeure afin de mettre en valeur un meuble ou un objet ancien.

Série documentaire sur les plus beaux villages du Québec. Cette série, pilotée par l’historien et expert en architecture patrimoniale Yves Laframboise, met en valeur le patrimoine architectural, les attraits géographiques et la vie des villageois dans les plus beaux coins du Québec.

Les 26 villages :

Anse-Saint-Jean, Deschambault, Georgeville, Frelighsburg, Inverness, Kamouraska, Knowlton, Les Éboulements, L’Islet-sur-Mer, Métis-sur-Mer, North Hatley, Notre-Dame-du-Portage, Percé, Saint-André-de-Kamouraska, Saint-Antoine-de-Tilly, Saint-Antoine-sur-Richelieu, Saint-Jean (Île d’Orléans), Saint-Joseph-de-la-Rive, Saint-Laurent (Île d’Orléans), Saint-Louis-de-Lotbinière, Sainte-Pétronille (Île d’Orléans), Saint-Michel-de-Bellechasse, Saint-Pacôme, Saint-Vallier-de Bellachasse, Stanbridge East, Tadoussac.

Magazine animé par Reine Malo dans laquelle une personnalité publique nous fait découvrir son amour de l’hiver et de son coin de pays.

Série magazine qui permet à  de jeunes passionnés (13-19 ans) de vivre une expérience scientifique avec un professionnel ou un technicien qui fait carrière dans le métier de leur rêve.

Coproduction avec l’éditeur multimédia Édirom. Série télévisuelle de 65 contes documentaires, site web interactif, DVD et bande dessinée, ce projet multi plateforme propose de découvrir l’histoire de l’Amérique française. Son point de départ est la France et se poursuit de l’Acadie à  la Louisiane, en passant par le Québec, les Grands Lacs, le Mississippi et la Pennsylvanie. Cette production a obtenu le financement des Fonds Bell, Vidéotron, Telus ainsi que du gouvernement français.